LE TEMPS DE LA GRACE

LE TEMPS DE LA GRACE QUI A ETE FIXE ET ACCORDE A TOUTE L’HUMANITE PAR LE SEIGNEUR, A TOUCHE A SA FIN.

En effet, cette génération est celle qui a le privilège de voir et de lire cette écriture céleste qui est restée longtemps énigmatique, scellée et cachée dans le ciel, que le Seigneur lui-même m’a révélée en 1994, dans cette génération, exactement sept ans avant que le deuxième millénaire ne s’achève, et que commence le troisième millénaire, qui est en somme le troisième jour selon le Seigneur l’Esprit, qu’il a fixé lui-même par sa grâce, pour le relèvement du temple, qui est son Eglise universelle.
Il est vrai, que depuis la promesse de son avènement, depuis sa mort sacrificielle aux bois de calvaire pour le salut du monde, il s’est écoulé effectivement deux milles ans, qui ne symbolisent rien que la fin de deux jours de sa grâce, selon le temps qu’il a fixé par sa grâce ! Mais le troisième millénaire qui vient de commencer, symbolise le troisième jour qu’il a fixé, où il revient pour le relèvement de son temple, son Eglise.

Il importe ici, que nous puissions rappeler que le Seigneur revient la nuit, après le minuit du deuxième jour. Souvenez-vous à sa résurrection, les femmes qui sont allées de grand matin au tombeau, c’est-à-dire qu’elles sont allées la nuit, elles ne l’ont pas trouvé dans le tombeau ! Il leur fut dit par un ange qu’il était déjà ressuscité. C’était la nuit du début du troisième jour, c’est-à-dire la nuit qui a commencé après la fin du deuxième jour.

Or le deuxième jour de sa mort, c’était le jour de sabbat où le Seigneur se trouvait dans le sépulcre en repos, après sa crucifixion et sa mort constatée à la croix de Golgotha le vendredi où il était en travail pour engendrer son Eglise ou son Epouse. Le samedi, le corps du Seigneur était toute cette journée dans le tombeau parce que c’était le jour où il s’est reposé de toute son œuvre, c’était le jour de sabbat. Voilà pourquoi le vendredi à la croix avant rendre l’âme, il s’est écrié ; Tout est accompli ! Le jour de repos ne devait pas être profané selon la loi juive. Le dimanche, c’était le troisième jour depuis le vendredi où l’on a constaté la mort du Seigneur à la croix, mais ce jour-là de grand matin, c’est-à-dire la nuit du dimanche, les femmes qui sont allées avec des aromates pour l’embaumer, ne l’ont pas trouvé dans le tombeau, parce qu’il était déjà ressuscité.
Ainsi, le début du troisième millénaire qui vient de commencer, symbolise le début du troisième jour qu’il a fixé par sa propre autorité, par sa grâce pour le relèvement du temple, qui est le corps mystérieux du Christ, qui est son Eglise ou son Epouse, qui a été détruite par le diable, mais que le Seigneur revient pour relever au troisième jour, qui est justement le troisième millénaire qui vient de commencer.
Il est écrit : «Mais il est une chose, bien aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour. Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun ne périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance ». (2Pi 3 : 8-9)
Il importe donc, que nous puissions comprendre de par ce qui précède, que c’est le Seigneur Jésus lui-même qui a fixé le temps, quand il a dit : Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai. (Jn 2 : 19 ).
Il est évident que le Seigneur est ressuscité selon la chair le troisième jour, selon qu’il l’avait déterminé d’avance par sa parole en l’annonçant à ses disciples. Voilà pourquoi, nous ne devons pas limiter la parole du Seigneur à la chair, car les Saintes Ecritures disent que le Seigneur c’est l’Esprit (2 Cor 3 : 16-18).

Or, si le Seigneur est Esprit, c’est-à-dire qu’il est Dieu lui-même, alors pourquoi devons nous limiter le temps qu’il a fixé pour le relèvement du temple au temps charnel, alors qu’il est lui-même Esprit ? Donc, nous devons comprendre que le temps qu’il a fixé ne s’est pas limité seulement à la chair, mais ce temps fixé est plutôt comparé à mille ans passés, qui sont aux yeux du Seigneur comme un jour qui vient de s’achever, devant lui.

Or, nous devons aussi savoir que depuis qu’il est mort à la croix de Golgotha, il s’est écoulé près de deux mille ans, qui symbolisent la fin de deux jours devant le Seigneur. Et le troisième millénaire qui vient de commencer, symbolise le troisième jour qui commence selon l’entendement du Seigneur, l’Esprit, qui revient au troisième jour de sa grâce, pour venir relever son corps qui est son temple, son Epouse ou ses élus.
Si le Seigneur a dit : Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai ! Nous devons comprendre que cette parole du Seigneur ne s’est pas limitée à sa chair, qui devait être pendu et mis à mort à la croix, pour ressusciter au troisième, et limiter ce temps qu’il a fixé aux trois jours charnels humains ! Sa parole concernant la destruction du temple de son corps avait deux dimensions, une dimension bien sûr charnelle pour l’accomplissement de sa résurrection dans le corps de sa chair, et une autre dimension spirituelle pour l’accomplissement du relèvement du temple, en tant que corps mystérieux de Christ, qui est son Eglise.

Ce relèvement du temple, il devait le faire au temps fixé par sa grâce, c’est-à-dire selon le temps de l’Esprit, qui est Dieu lui-même, au troisième millénaire qui vient de commencer. Car le troisième millénaire qui commence correspond au début troisième jour que le Seigneur a fixé selon le temps de sa grâce pour l’enlèvement des élus.
Ce pourquoi le temps qui doit être appliquer pour le relèvement du temple qui est le corps mystérieux de Christ, qui est son Eglise ou son Epouse, ce temps fixé par le Seigneur en tant qu’Esprit, est comparé à mille ans écoulés qui sont égale à un jour devant le Seigneur, et non comme beaucoup de gens le pensent, en limitant ce temps aux trois jours charnels. Or, nous savons tous qu’un jour selon la chair est égal à 24 heures. Ce pourquoi, nous devons comprendre que le temple véritable du Seigneur, qui doit être relever, c’est le corps mystérieux de Christ, son Eglise, qui doit être compris non comme étant la chair de Christ qui avait été porté à la croix pour accomplir le plan de la rédemption de toute l’humanité, en versant son sang précieux, et en mourant à la croix pour nous racheter de la mort.

Son corps de chair est effectivement ressuscité le troisième jour, mais nous devons comprendre que le corps mystérieux de Christ, c’est son Eglise, c’est son Epouse, c’est le Temple de Dieu qui a été détruit par le Diable avec tous ses suppôts, mais que le Seigneur revient pour relever au terme du temps qu’il a fixé. C’est-à-dire au troisième jour du Seigneur en tant qu’Esprit, qui est ce troisième millénaire qui vient de commencer, pour enfin punir tous les rebelles et tous les méchants qui ont profané sa parole, qui donne la vie à toute la création universelle.

Voilà pourquoi, il nous a révélé justement son dernier signe qui est visible dans le ciel, en 1994, sept ans avant que le début du troisième millénaire ne commence, qui, est le troisième jour selon le Seigneur, où il revient relever son temple, qui n’est rien d’autre que son Eglise. Ce pourquoi, le relèvement du temple du Seigneur, doit être compris aussi comme étant l’enlèvement de son Epouse ou de son Eglise.
Le prophète Osée avait aussi prophétisé sur le temps fixé de l’avènement du Seigneur, bien des siècles auparavant, avant même la première venue du Seigneur sur la terre. Voilà ce qu’il avait dit prophétisant à propos de notre relèvement ou du relèvement du temple de Dieu qui est le corps de Christ ou son Eglise. Il a dit ceci : Venez, retournons à l’Eternel. Car il a déchiré, mais il nous guérira ; Il a frappé, mais il bandera nos plaies. Il nous rendra la vie dans deux jours ; Le troisième jour il nous relèvera, Et nous vivrons devant lui. Connaissons, cherchons à connaître l’Eternel ; Sa venue est aussi certaine que celle de l’aurore. Il viendra pour nous comme la pluie, Comme la pluie du printemps qui arrose la terre. (Os 6 : 2-3)
Le Seigneur l’Eternel l’avait aussi d’une certaine manière révélée par son serviteur Moïse, qui était un prototype de Christ. Quand il lui a dit sur la montagne ! Va vers le peuple et sanctifie-les aujourd’hui et demain (c’est-à-dire pendant deux jours), qu’ils lavent leurs vêtements et qu’ils soient prêts pour le troisième jour, car le troisième jour l’Eternel descendra aux yeux de tout le peuple sur la montagne de Sinaï. (Ex 19 : 10-11).

Il en est de même du temps de la grâce fixé par le Seigneur. Il y a deux jours de sanctification, qui sont symbolisés par les deux mille ans qui viennent de s’achever, et le troisième jour fixé pour la descente du Seigneur sur la montagne, c’est le troisième millénaire qui vient de commencer.
De par ce qui précède nous devons donc comprendre que le temps du Seigneur n’est pas un temps comme peut l’entendre un homme naturel, c’est-à-dire un homme charnel. Car un jour charnel est de 24 heures, mais un jour selon l’Esprit qui est le Seigneur est égal à mille ans. La Bible déclare que le Seigneur c’est l’Esprit. (2 Co 3 : 17)

L’index du temps du Seigneur est de mille ans qui sont comme un jour devant le Seigneur... (Voir 2 Pi 3 : 8). Et il est écrit aussi ; Qu’un jour pour le Seigneur c’est comme quand mille ans passent... (Ps 90 : 4).
Cet index de temps, le Seigneur l’a fixé par sa grâce pour sauver les élus. Car le Seigneur lui-même, ne vit pas sous le temps, mais il est au-dessus du temps, c’est-à-dire qu’il est Eternel. Il n’a ni commencement ni fin. Il est la lumière éternelle, mais Il a crée le temps pour les hommes. Aussi il a fixé un terme au temps, afin d’amener tous les hommes, vivants ou morts, en jugement pour tout ce qu’ils auront fait sur la terre, tant le bien que le mal, cela au terme justement du temps qu’il a fixé.
Voilà pourquoi le Seigneur Dieu avait déjà révélé le temps de sa grâce au commencement, au temps même de nos premiers parents charnels Adam et Eve. Quand il a donné cet ordre à Adam, concernant l’arbre de connaissance du bien et du mal qui était au milieu du jardin. Il lui a dit ; «Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour ou tu en mangeras, tu mourras ». (Gn 2 : 16-17).
Or nous constatons qu’après qu’ils ont mangé du fruit interdit, Adam et Eve ne sont pas mort le même jour selon la chair, qui est un jour de 24 heures. En effet, Dieu n’a pas considéré le jour selon la chair des hommes qui est un jour de 24heures, mais il a considéré le temps de sa grâce qui est de mille ans qui sont égalent à un jour devant le Seigneur.
C’est ce qui explique qu’après leur chute, leur déchéance dans le jardin d’Eden, Adam et Eve ont vécu des centaines d’années, ils ont engendré beaucoup d’enfants, puis Adam mourut âgé de 930 ans. Ceci nous fait voir qu’ils ont vécut dans le jour de la grâce de Dieu qui est de mille ans. Mais nous constatons qu’ils sont morts avant la fin de ce jour, c’est-à-dire qu’ils sont morts avant d’atteindre l’âge de mille ans, qui symbolise un jour de grâce fixé par le Seigneur pour l’humanité. Voilà pourquoi la parole du Seigneur le Créateur avait dit à l’homme, Adam ; Le jour ou tu en mangeras, tu mourras. (Gn 2 : 16-17)
Si le Seigneur avait appliqué sa parole pour frapper nos premiers parents, Adam et Eve, selon le jour charnel qui est un jour de 24 heures, l’humanité même n’existerait point. Or cela pouvait même entraver le plan de rédemption de Dieu pour l’humanité ! Mais comme aucune créature, dans le ciel comme sur la terre, ne peut arrêter les desseins de Dieu, car il connaît d’avance les mauvaises pensées cachées parmi ses créatures, Dieu savait déjà d’avance ce que Satan le diable allait faire, pour entraîner l’homme dans la désobéissance à la parole de Dieu, pour qu’il pêche en désobéissant à la souveraineté de Dieu, pour qu’il tombe dans la mort et dans l’anéantissement total, et de cette façon là, le diable se disait en son cœur, que Dieu n’aurait pas d’autres issues pour sauver l’homme ou l’humanité, pour qu’elle se perde définitivement d’entre ses mains.

Dieu étant omniprésent, omnipotent, omniscient, il connaissait déjà d’avance ce que le diable allait faire. Voilà pourquoi, il avait déjà d’avance préparer un plan de rédemption par sa grâce, pour sauver l’humanité de la mort, où le Diable allait l’entraîner, pour le ramener à la vie, en détruisant bien sûr le Diable, l’ennemi de Dieu, qui est celui qui a détruit l’homme dans la mort par sa ruse.
C’est ainsi que dans le jardin d’Eden, après que le Diable ait entraîné l’homme dans la désobéissance à la parole de Dieu pour qu’il meurt, Dieu qui est établit depuis l’éternité sur son trône en tant que Juge Eternel, Souverain Roi de l’univers, Créateur de toutes choses dans les cieux comme sur la terre, déclara cette sentence à l’endroit du Diable ; Puisque tu as fait cela tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité ; celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. (Gn 3 : 14-15).
Dans le plan de la rédemption que Dieu avait conçu pour sauver l’homme, la postérité de la femme qui devait venir pour écraser la tête du serpent, c’est le Seigneur Jésus-Christ lui-même, la parole de Dieu faite chair et qui est Dieu lui-même. C’est pourquoi quand il est venu sur la terre, un jour qu’il parlait avec les juifs qu’il avait chassé du temple, parce qu’ils faisaient du temple de Dieu une maison de trafic ; ces derniers lui dirent après qu’il les eut chassés du temple ; Quel miracle fait-tu pour que nous croyions en toi ? ; Il leur répondit ; Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai (Jn 2 : 15-19).
En effet, celui qui détruit le temple de Dieu, c’est le Diable et tous ceux qui restent encore sous son influence. Et le temple qu’ils s’évertuent toujours à vouloir détruire depuis le commencement dans le jardin d’Eden, c’est la parole de Dieu, là où Dieu a établit l’homme, pour que l’homme vive dans l’abondance et qu’il ne connaisse pas la mort, à la seule condition, qu’il se conforme librement et fidèlement à observer la parole de Dieu, car c’est par l’observance de la parole de Dieu que nous avons la vie. Selon qu’Il est écrit ! Vous observerez mes lois et mes ordonnances : l’homme qui les mettra en pratique vivra par elles. Je suis l’Eternel. (Lé 18 : 5).